Pour Astrid Moulin, tout commence le 1er juillet 2014. La jeune femme, originaire de Valence, débarque à Toronto, avec un Permis Vacances Travail de 1 an.
Elle se souvient: «je n’avais jamais mis les pieds en Amérique du Nord, je ne connaissais personne». Au bout d’un an, Astrid rentre en France.
De PVTiste à résidente permanente
Mais très vite, elle postule pour un second PVT. «J’avais l’impression d’être passé à côté de mon expérience.» Cette fois-ci, le PVT est valable 2 ans. Février 2017, Astrid revient à Toronto, plus mature, plus sûre d’elle. Elle a obtenu la résidence en avril dernier.
C’est une étape importante qui lui permet d’avoir «la liberté de rentrer en France et de revenir quand je veux».
S’expatrier à Toronto
Astrid reconnaît volontiers avoir «plus d’opportunités professionnelles ici qu’en France». Savoir parler français à Toronto, c’est aussi un atout majeur, «c’est une bonne plus value». Comme le souligne la blogueuse, cette génération de PVTiste a un but bien précis: «on est venu ici pour travailler, pour avoir une carrière».