Vous l’avez peut-être entendu rugir. Une chose est sûre, il est bien de retour. Depuis mardi dernier et jusqu’au 15 juin, Le Roi Lion a établi son royaume au Princess of Wales Theatre à Toronto. Et il a quelqu’un à vous présenter.
Un portrait de lion sur fond jaune. Simple et efficace. Car il n’y a pas besoin d’en faire des tonnes pour que les gens le reconnaissent. Mercredi dernier, le Princess of Wales faisait salle pleine pour le retour du Lion King. Après New York, la comédie musicale la plus populaire au monde, dirigée par Julie Taymor, s’offre un duo de plus avec la Ville-Reine.
Une version fidèle à l’originale
Et quand les lumières s’éteignent, tous répondent à l’appel de Rafiki, comme propulsés vingt ans en arrière, au moment où le film de Disney sortait en salles. Mais non, vous n’êtes ni au cinéma, ni devant votre télé. Vous voilà en plein cœur de l’Afrique, qui vous invite à une célébration.
Vous n’y croyez pas? Il suffit de regarder autour de soi. Chants africains résonnent, tam-tams et percussions s’y ajoutent. Le soleil se lève, les lumières s’allument progressivement vers cette scène centrale, qui introduit ce grand classique: la naissance de Simba, fils de Mufasa et l’idée d’un «cycle de la vie».
Oiseaux, girafes, éléphants, zèbres… affluent de toutes parts du théâtre et répondent à l’invitation.