C’est presque devenu une tradition. Au cours des dernières années, en revenant de la pause estivale, je renoue avec vous en vous présentant les nouvelles moutures des dictionnaires usuels. Je n’allais certainement pas faire exception cette année et je partagerai quelques-unes des découvertes que j’ai faites en feuilletant le Larousse.
Mais d’abord je vous salue cordialement, fidèles lecteurs. Je remercie ceux qui m’ont écrit au cours de l’été, me posant quelques colles et me suggérant quelques sujets à aborder. J’apprécie cette interaction avec vous.
Revenons à notre Petit Larousse 2012. L’ouvrage, plus séduisant que jamais, nous revient avec son contenu accessible, sa forme conviviale, ses illustrations pertinentes, ses pages roses et sa section des noms propres intégrée à l’ouvrage.
Ce sont là des facteurs qui font de ce dictionnaire un choix privilégié pour bien des familles, des écoliers et des amateurs de langue française.
Je le redis encore: le Larousse est moins riche que le Robert sur le plan linguistique, sur celui des références littéraires et sur les informations étymologiques ou historiques. Les définitions sont brèves, les nuances de sens sont moins nombreuses, les citations sont rares et les éléments étymologiques sont rares.