Vulgaires Machins en vue

Soirée Choq FM avec la Franco-Fête

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Publié 08/06/2010 par Guillaume Garcia

Ça pourrait être l’histoire de milliers de groupes sur la planète et pourtant elle fait toujours autant rêver. On s’est rencontré au secondaire, on a commencé à faire de la musique ensemble, des jams, des démos et aujourd’hui on joue partout, on reçoit des prix et surtout on vit de ce qu’on aime faire. Bienvenue dans le monde des chanceux, des bosseurs, des punks-alternatifs avec pour aujourd’hui la découverte des Vulgaires Machins, groupe québécois de punk-rock et à l’affiche du El Mocambo ce vendredi pour le premier concert de la Franco-Fête.

Originaire de Granby, Marie-Ève Roy, guitariste-chanteuse des Vulgaires Machins jouait, au début dans un groupe en compagnie de Guillaume Beauregard (guitare-voix) avant de se faire mettre dehors.

Les deux compères commencent alors à monter leur propre groupe avec le frère de Guillaume, Maxime, à la basse.

«C’est devenu de plus en plus sérieux, on faisait des démos à Granby. Il y avait une scène très vivante», explique la chanteuse.

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Vulgaires Machins?

Le nom de Vulgaires Machins était avant tout destiné à ne rien dire. «On ne savait pas ce qu’on allait jouer. C’était punk mais on ne voulait pas être catalogués», se rappelle Marie-Ève Roy. Connus pour leurs textes alternatifs et leur critique du système (bah oui ce sont des punks, anti-tout, donc pas souverainistes!), les Vulgaires Machins ont toujours eu cette vision négative de la société dans la laquelle on vit et l’ont retranscrit en paroles, même si cela se faisait de manière plus «naïve» au début. Récipiendaires de nombreux prix au Canada et au Québec, les Vulgaires Machins viendront allumer le El Mocambo en compagnie des groupes Torontois Clothes Make The Man et de Crash Parallel. el Mocambo, College et Spadina, vendredi 11 juin à 21h. Concert gratuit.

Pour tous les détails de la programmation, visitez www.franco-fete.ca

Auteur

  • Guillaume Garcia

    Petit, il voulait devenir Tintin: le toupet dans le vent, les pantalons retroussés, son appareil photo en bandoulière; il ne manquait que Milou! Il est devenu journaliste, passionné de politique, de culture et de sports.

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