Théâtre CanAfrique, organisme multi-arts incorporé en 2008, illustre la vision de sa fondatrice et directrice, Djoléï Justine Gogoua, visant l’opportunité de mettre en valeur la vaste diversité artistique ontarienne, reflet de notre nouvelle démographie. L’organisme voué à faire le pont culturel entre artistes d’ici et d’ailleurs, a organisé le 1er Festival International de Tambour et de Danse de Mississauga, samedi 28 août au Living Arts Center. À titre de marraine de l’événement, je dédie cet article aux 65 artistes, musiciens et danseurs de partout, qui ont partagé dans un climat d’inclusion artistique, les percussions et danses du monde africain.
«Théâtre CanAfrique, comme son nom l’indique, se veut l’espace artistique où les arts de la scène africains vont à la rencontre des arts d’ici, tout en gardant une ouverture sur le monde qui l’entoure», déclare Djoléï Justine Gogoua, instigatrice du Festival.
L’organisme a pour objectif, à travers l’organisation d’activités artistiques et éducatives, de contribuer à l’épanouissement de la communauté multiculturelle ontarienne.
Il vise aussi à aller à la rencontre des scènes régionales, nationales et internationales pour y représenter la multiple identité artistique de l’Ontario et du pays.
C’est dans cet esprit de rassemblement des arts et cultures d’ici et d’ailleurs, que l’idée de mettre sur pied le 1er Festival International de Tambour et de Danse de Mississauga a germé il y a quelques mois.