Depuis la pandémie, le télétravail s’est largement développé, notamment au sein des organismes francophones. Certaines équipes travaillent même entièrement à distance, depuis une autre province. Une situation qui comporte ses avantages, mais aussi ses défis.
Sur le site Internet du Comité FrancoQueer de l’Ouest, section «Contact», la transparence est de mise: «L’équipe du Comité FrancoQueer de l’Ouest œuvre en télétravail.»
Si le siège de l’organisme se situe à Edmonton, un seul membre de son personnel y demeure.
«On loue un espace dans les bureaux de la Cité francophone à prix modique», explique Martin Bouchard, qui travaille à la direction générale depuis chez lui, à Victoria, en Colombie-Britannique.
«La pandémie a mis tout le monde au même niveau sur les technologies comme Zoom, Teams, etc. Dix minutes Zoom ça fait autant l’affaire qu’une rencontre en personne d’une heure. On sauve du temps, tout est plus rapide. Ce n’est vraiment pas un problème», estime-t-il.