À l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le 3 mai dernier, on a beaucoup parlé de la désinformation par opposition à l’information.
Alors que l’on entend généralement l’information comme l’ensemble des moyens qui permettent de transmettre des communications valables au public, «la désinformation est un ensemble de techniques de communication visant à tromper des personnes ou l’opinion publique pour protéger des intérêts (privés ou non) ou influencer l’opinion publique.» (Wikipédia)
La désinformation utilise la technologie à sa disposition pour diffuser ce fausses nouvelles, par le moyen, entre autres, des réseaux sociaux accessibles à tous.
Non-information
Mais il est un sujet qui n’a pas été abordé, et pour cause, c’est celui de la non-information.
Il s’agit de renseignements exacts, précis, qui figurent explicitement dans des documents officiels, mais qui ne sont pas rendus publics ou dont l’organisme ou l’organisation qui les détient ne fait pas état, si bien qu’ils passent inaperçus du grand public qui agit ou réagit comme s’ils n’existaient pas puisqu’il en ignore l’existence.