Publiés en 52 langues et vendus à 200 millions d’exemplaires dans le monde entier, les romans de Dan Brown sont presque tous un brillant mélange d’histoire, d’art, de codes et de symboles. Son tout nouveau Inferno se situe dans cette lignée, en plus d’aborder un enjeu crucial de notre époque: la surpopulation.
À l’exception peut-être de la Bible, La Divine Comédie de Dante Alighieri – Inferno, Purgatorio, Paradiso – est l’œuvre qui a inspiré le plus d’hommages, d’imitations, des transpositions et de commentaires.
La Carte de l’Enfer ou Mappa dell’Inferno, de Sandro Boticelli, est un hommage au chapitre Inferno de ce magistral ouvrage.
Dans Inferno, Dante invite ses lecteurs à chercher l’enseignement qui se cache dans les allégories qui parsèment son récit. Tout le roman de Dan Brown est centré sur des allégories dissimulées dans à peine quatre phrases gravées au verso du masque funéraire de Dante. Chargé de déchiffrer ce texte, le professeur Robert Langdon se sent déjà au «paradis».
Mais je vais trop vite en affaires. Je dois d’abord vous dire que le roman commence par une scène à l’hôpital de Florence.