Ce n’est peut-être pas la quantité de courriels qui nous stresse, mais le nombre de fois que nous vérifions nos courriels dans une journée. La solution est donc simple…
Deux psychologues de l’Université de Colombie-Britannique, Kostadin Kushlev et Elizabeth W. Dunn, relatent dans le New York Times l’expérience inusitée qu’ils ont menée sur Internet: demander à leurs «cobayes» de vérifier leurs courriels aussi souvent que possible, puis la semaine suivante, de ne les vérifier que trois fois par jour — et de désactiver les alertes.
Leur but est de remettre en question l’hypothèse couramment acquise — que nous stresserions à cause d’une surabondance d’information — et de suggérer que la recherche examine davantage nos propres comportements.