Depuis quand notre diffuseur public peut-il se permettre de présenter sa programmation d’automne (radio ou télévision) à titre de «nouvelle» et plus particulièrement comme «grand titre» tel qu’observé cette semaine sur le site web de Radio-Canada?
Le service d’information n’a-t-il pas l’ossature nécessaire pour répondre à ses dirigeants obsédés par la cote d’écoute que cela ne se fait pas.
Doit-on maintenant s’attendre à des placements de produits et services à même les nouvelles? Et qu’arrive-t’il donc à l’éthique journalistique ou encore à l’Ombudsman? Sur quelle base le diffuseur dit public peut-il mener une telle promotion sans faire l’équivalent pour un diffuseur privé ou communautaire?
De quoi se demander comment se portent leurs mécanismes de contrôle de qualité de «l’information»!
