La télévision française et en particulier les divers annonceurs de la bonne vieille télé française continuent de se distinguer et de jongler avec les anglicismes.
Ils ne sont pas les seuls, je dois dire. Le dernier en date (d’anglicisme) que j’ai entendu et que je continue d’entendre tous les jours avec cette histoire farfelue survenue dans une grande banque française, c’est «trader».
Il existe, bien sûr, les mots bien français, eux, de délégué en bourse, spéculateur, opérateur en bourse, échangiste et d’autres (je ne suis pas un spécialiste de la bourse!) mais non! Les Français, une fois de plus et après les célèbres et immortels drastique, tennisman, sponsor, sponsorisé, etc. continuent de donner la préférence aux mots anglais.