Sourire en coin ou les ruses de l’autodérision
Gilles Archambault, chantre du moi
«À l’âge ridicule qui est le mien, j’ai tout le loisir de retourner à mon passé», écrit Gilles Archambault dans Sourire en coin ou les ruses de l’autodérision. «Pour en ressentir, selon les jours, de la frayeur ou de l’apaisement.» L’auteur le fait sans mensonge, sans illusion. Auteur de dix-huit romans, dix recueils de nouvelles, cinq chroniques et quatre récits, Archambault, 86 ans et veuf depuis bientôt neuf ans, dresse un bilan de sa vie dans son tout dernier récit. L’ouvrage renferme trente et un courts chapitres, le plus souvent d’à peine trois pages. Se regarder aller Vivre à moitié […]
Publicité