Aristote Kavungu, fin psychologue et sociologue
Aujourd’hui, 25 septembre, nous célébrons la Journée des Franco-Ontariens et des Franco-Ontariennes. Je vous présente donc un roman d’un écrivain du Grand Toronto. L’être humain est-il naturellement porté à monter ses semblables les uns contre les autres, à les manipuler, à les isoler, voire à «tuer ses pairs par désœuvrement»? On pourrait le croire en lisant le roman Mon père, Boudarel et moi, d’Aristote Kavungu. Un tortionnaire en Indochine L’auteur s’est inspiré de l’histoire véridique du camp 113 en Indochine, et du présumé tortionnaire Georges Boudarel, pour écrire ce court roman de 80 pages. Le personnage principal et narrateur est […]