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Coronavirus : de la panique à la complaisance
La panique face à une épidémie fait de bonnes images à la télé. Mais la complaisance est, en réalité, davantage répandue, et peut faire davantage de dommages. C’est l’opinion qu’émet le psychologue israélien Ido Erev, spécialiste des sciences du comportement. Il rappelle, études à l’appui, que seule une minorité de gens panique ou même «réagit de façon excessive» devant une crise: de 10 à 30%, tout dépendant de la situation, continuent de «surestimer le risque». Un pourcentage qui est peut-être plus élevé au début, mais qui se tasse rapidement, explique-t-il dans une entrevue au New York Times. «Tout le monde tend à […]
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