camp de concentration
Distinguer l’éphémère de l’immuable
Plusieurs romans ont raconté l’horreur des camps de concentration. Dans Des jours d’une stupéfiante clarté, Aharon Appelfeld choisit de nous amener sur les traces de son personnage Theo qui, à 20 ans, marche d’un camp autrichien jusque chez lui. Un trajet de plus de 300 km qui concilie passé et présent, solitude et solidarité. Au printemps de 1945, Theo Kornfeld quitte le camp de concentration no 8 (Mauthausen) située à 24 km de Linz, en Haute-Autriche. Les gardiens allemands ont déguerpi à l’approche des Russes, et Theo décide alors de marcher jusqu’au village de ses parents, Sternberg, soit environ 290 […]
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