Extrémisme: des solutions à connecter au 21e siècle
En 2015, le meurtre de deux journalistes, en Virginie, devenait le premier à être diffusé en direct sur Facebook. Quatre ans plus tard, c’est de la Nouvelle-Zélande qu’est venue la première tuerie de masse diffusée en direct, et accompagnée de traces numériques laissées délibérément par le tueur. La vitesse à laquelle cette descente aux enfers s’est faite illustre le dérapage social que sont devenus les réseaux sociaux entre les mains d’esprits dérangés. «Le tueur voulait l’attention du monde et en commettant un acte de terreur de masse, il l’a eu», résume vendredi le chroniqueur Charlie Warzel dans le New York Times. Bloquer les vidéos […]