Spartan Race: repousser ses limites

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Publié 21/06/2011 par Guillaume Garcia

Vous aimez les défis, le sport, les acrobaties et la douleur? La Spartan Race est faite pour vous. Organisées partout sur le continent nord-américain, ces courses «spartiates» mêlent course à pied, épreuves de forces, d’agilité et évidemment une bonne dose de résistance à l’effort. L’édition torontoise s’est déroulée dimanche dernier à Milton dans un cadre parfait: un lac, de la forêt, des pentes et du soleil. Pour une première, nous avions décidé de ne courir que le 5 km, entrecoupé d’une dizaine d’épreuves. Et bien, ce n’est pas si facile que ça en à l’air!

Dossards récupérés, feuille de responsabilité remplie, nous voilà prêts à affronter mille épreuves (en fait une dizaine)! On ne sait pas trop à quoi s’attendre et c’est peut-être ça le pire.

Notre départ est à 10 heures. D’autres groupes partiront toutes les 30 min après nous. Un maître de cérémonie déguisé en soldat de Sparte nous rassemble au son des «Arouuu Arouuu» comme dans le film 300.

On commence à courir, pour un peu moins de 10 minutes avant de marcher dans l’eau, sauter une barrière puis de porter des pneus en haut d’une colline et de redescendre. On repart à la course.

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Après quelques minutes de course, on doit franchir une seconde palissade, beaucoup plus haute, avant de lancer un javelot dans une botte de paille. Ceux qui ratent doivent faire 30 pompes! Une belle montée dans les broussailles attend les concurrents avant une autre phase de course à pied.

On entre ensuite dans la forêt pendant plusieurs centaines de mètres à courir entre les arbres. Une épreuve de lever de troncs s’offre à nous, avant le passage de filet et une montée de corde lisse. On sort enfin des bois, on redescend la colline avant de s’engouffrer dans un bac rempli de glaçons et surplombé de barbelés (photo de Une).

On saute au-dessus du feu, on tire un gros bloc de béton, on franchit des derniers ballots de paille et une structure en forme de toit pour finalement se retrouver devant deux soldats armés de cotons-tiges géants qu’il faut éviter. C’est bon c’est fini! On respire un bon coup, on boit un verre d’eau et on se dit à l’année prochaine!

Auteur

  • Guillaume Garcia

    Petit, il voulait devenir Tintin: le toupet dans le vent, les pantalons retroussés, son appareil photo en bandoulière; il ne manquait que Milou! Il est devenu journaliste, passionné de politique, de culture et de sports.

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