La présentation du «Plan pour un Québec souverain» par le Parti québécois a ramené les questions de la souveraineté et du référendum sur le devant de la scène politique, la semaine dernière.
Voilà un plan qui paraît bien astucieux, mais les Péquistes doivent garder en tête que ceux qui cocheront OUI lors d’un éventuel référendum sur la souveraineté seront essentiellement des francophones. C’est dire que la langue reste l’élément capital.
Or, au chapitre du français, nous perdons des plumes au Québec. Sans compter que les immigrés, qui seront 55 000 par année à débarquer à compter de 2010, qu’ils parlent français ou non, sont majoritairement opposés à la séparation d’avec le Canada, le pays qui les a accueillis.