Le climat politique mondial semble régresser vers une intolérance marquante envers la diversité.
Les événements comme l’élection de Viktor Orban en Hongrie, qui a gagné avec ses attitudes xénophobes envers les «étrangers», perturbent le monde et ouvrent la voie à l’incertitude quant à notre progrès vers l’égalité.
De plus en plus, on voit les conséquences de la tyrannie majoritaire et de l’intolérance envers les immigrants ou les «étrangers». Le Brexit et le phénomène Trump en sont des exemples. Cette nouvelle ère de divisions nationales, facilitée par des stratégies politiques qui tentent d’effacer la diversité, nous rend vraiment mal à l’aise.
Le Canada semble offrir un paradis de tolérance envers la diversité culturelle, voire un refuge pour ceux qui cherchent à échapper à l’injustice. Nous présentons une image d’un pays qui assure que chaque individu sera accepté et intégré dans la société — qu’il y a une place pour tout individu, peu importe son ethnicité, religion ou orientation sexuelle.
Et on a un beau premier ministre qui sourit beaucoup et assure qu’on s’aime tous et que tout va bien. Nous sommes les champions de la tolérance, n’est-ce pas ?