Sexe et violence: un mélange cérébral

Partagez
Tweetez
Envoyez

Publié 08/03/2011 par Agence Science-Presse

Ils sont voisins, mais ils ne se parlent pas. En fait, la zone du cerveau responsable de l’agression semble «s’éteindre» pendant l’acte sexuel —ce qui est probablement une bonne chose.

Daryu Lin, de l’Université de New York, et des collègues neurologues ont identifié ces neurones chez des souris pour en conclure, dans Nature, que les neurones activés par le sexe «agissent comme une barrière aux circuits de l’agression; ils bloquent les neurones voisins responsables de l’agression lorsqu’un partenaire potentiel est dans les environs».

www.sciencepresse.qc.ca

Auteur

Partagez
Tweetez
Envoyez
Publicité

Pour la meilleur expérience sur ce site, veuillez activer Javascript dans votre navigateur