Bien que je ne sois pas croyant, quand j’entre dans une église, j’enlève mon chapeau. Si je vais dans une mosquée, je retire mes chaussures. Il s’agit là d’actes de pure politesse envers des rites sociaux et non d’une soumission à une règle religieuse.
L’islamiste, pharmacienne, qui refuse d’enlever son voile pour qu’on la prenne en photo, pour sa carte de santé, est une demoiselle malpolie.
À l’époque victorienne, on donnait la fessée aux enfants têtus qui contrevenaient au bon usage. Jours révolus d’un châtiment mérité.
Aux temps bibliques, seules les prostituées cachaient leur visage par une burqa ou un niqab*. Kamel Atatürk, le grand réformateur de la Turquie moderne, musulman laïque, s’en est souvenu lorsqu’il a interdit le port du voile dans son pays tout en le rendant obligatoire pour les prostituées.
Pourquoi ne pas l’imiter au Canada? Ça ôterait l’envie aux demoiselles islamisées de garder leur voile sur la tête dans un pays où les gens n’ont pas l’habitude de cacher leur visage. On pourrait leur rappeler aussi que le Coran n’a jamais obligé les femmes à se voiler. Les hommes s’en sont chargés pour mieux asservir leurs épouses.