On nous apprend que le dossier Politkovskaïa est transmis à la justice militaire. C’est la meilleure.
L’armée russe était l’ennemie jurée de la journaliste assassinée, qui a dénoncé les atteintes aux droits de la personne en Tchétchénie, dont était justement responsable l’armée russe. Comment espérer qu’un tribunal émanant de celle-ci fera preuve d’impartialité? Assurément, ce sera une parodie de justice, et la «pravda» en prendra pour son grade.