Des rues animées, une foule enthousiaste, des déambulations festives. Alors que le ciel s’assombrissait, que le vent soufflait et qu’une fine pluie s’abattait sur Toronto, la Nuit Blanche, de samedi soir à dimanche matin, a attiré de nombreux promeneurs.
Mais étaient-ils présents pour l’ambiance générale ou pour l’art contemporain?
Cette manifestation culturelle, initiée à Paris en 2002, s’est étendue à de nombreuses autres villes.
Souvent énigmatiques, parfois indéchiffrables, les œuvres forcent à éveiller l’imagination et l’interprétation. Et en laissent sceptiques et interloqués plus d’un.