Madeleine Meilleur, «notre» ministre depuis 10 ans

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Publié 29/10/2013 par l-express.ca

L’Assemblée de la francophonie de l’Ontario a souhaité mercredi un «joyeux anniversaire» à Madeleine Meilleur qui célébrait, ce 23 octobre, ses 10 ans à titre de ministre déléguée aux Affaires francophones de l’Ontario.

«En dix années à la tête de l’Office des affaires francophones, Mme Meilleur a fait avancer de nombreuses priorités de la communauté franco-ontarienne», souligne l’AFO, le lobby politique des Franco-Ontariens.
 
«Nous lui devons notamment la désignation des régions de Callander, Brampton et Kingston, et aussi celle du Collège Boréal et de l’Université de Hearst sous la Loi sur les services en français (LSF). Sous son mandat, Mme Meilleur a également permis l’autonomie de la chaîne française TFO, la création du Commissariat aux services en français et la consécration du 25 septembre comme Jour des Franco-Ontariennes et des Franco-Ontariens, sans oublier la Définition inclusive de francophone (DIF) qui reflète mieux la réalité de notre communauté.»
 
Récemment encore, Mme Meilleur a annoncé la désignation de l’hôpital Montfort d’Ottawa comme hôpital d’enseignement universitaire et la désignation de l’hôpital Horizon Santé-Nord de Sudbury en vertu de la LSF.
 
Selon l’AFO, cette ministre est «à l’écoute des priorités des Franco-Ontariens».
 
Le président Denis Vaillancourt remercie Mme Meilleur «pour sa contribution exceptionnelle à la vitalité et à l’épanouissement de la francophonie ontarienne».

Le commissaire aux services en français de l’Ontario, François Boileau, profite lui aussi de cet anniversaire pour féliciter sa ministre «pour sa décennie d’accomplissements au service de la francophonie ontarienne».

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«Au-delà des critiques qu’on peut diriger à l’endroit du gouvernement», écrit-il dans son blogue, «je crois qu’il est important de reconnaître que ces 10 années d’engagement public de la ministre au service de la francophonie ontarienne méritent d’être soulignées».

Le 25 septembre dernier, Mme Meilleur avait d’ailleurs lancé le processus législatif devant mener à l’émancipation du Commissariat aux services en français, qui relèvera bientôt de l’Assemblée législative, et non plus du gouvernement, au même titre que la vérificatrice générale, l’ombudsman et quelques autres grands surveillants des activités de l’État ontarien.

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