La sagesse conventionnelle suggère que deux choses sont vraiment inévitables: la mort et les impôts. Il est toutefois utile de savoir qu’il est possible d’éviter une partie ou la totalité de certains impôts.
Parmi les autorités législatives qui perçoivent un impôt sur la succession d’une personne décédée, l’Ontario est probablement la province canadienne qui exige le montant le plus élevé.
L’impôt sur l’administration d’une succession est calculé en fonction de la valeur de la succession dont le montant est déclaré sous serment ou solennellement dans la requête en vue d’obtenir un certificat de nomination à titre de fiduciaire de la succession.
La Loi de 1998 de l’impôt sur l’administration des successions, LO 1998, c 34, établit ainsi la formule de calcul de l’impôt comme suit: 5 $ par tranche complète ou partielle de 1 000$ de la première tranche de 50 000$ de la valeur de la succession; et 15$ par tranche complète ou partielle de 1000$ de l’excédent de la valeur de la succession sur 50 000$.
Cet impôt peut être réduit ou éviter complètement. Aujourd’hui, je vous signale trois moyens.