Qui dit Osiris dit Égypte ancienne, et qui mentionne l’Égypte ancienne parle de la fascination que cette civilisation exerce depuis longtemps, au point qu’une présentation parle même d’une «fascination ancestrale» (francetvéducation). Pourquoi en est-il ainsi? Pourquoi un tel attrait qui se perpétue au cours des siècles?
Il faut dire que l’Égypte ancienne a de quoi fasciner avec des monuments exceptionnels: la triade des pyramides monumentales et mystérieuses et le sphinx géant qui les accompagnent près du Caire, les pyramides à degrés dont la grande pyramide de Gizeh qui fait partie des sept merveilles du monde antique et du Patrimoine mondial.
Et il y a Louxor, les nombreux musées du Caire ou d’Alexandrie, avec leurs trésors antiques et leurs momies, et ces noms prestigieux qui ont traversé l’histoire, Akhenaton, Toutankhamon, Néfertiti, Cléopâtre, et combien d’autres.
Et il y a les hiéroglyphes, un langage réservé à quelques initiés, croyait-on, jusqu’à ce que Champollion en déchiffre la signification à partir de 1821. L’égyptomanie n’a pas cessé pour autant.
Villes englouties
Mais ne se cacherait-il pas quelque chose derrière tout cet appâtât, qui en donnerait une explication à la façon dont il en existe une pour les fastes de la Rome vaticane, par exemple? La réponse à une telle question se trouve peut-être au fond de l’eau.