Quelques jours avant le vernissage d’une nouvelle exposition à la Galerie Thompson Landry du quartier de la Distillerie, spécialisée dans les artistes québécois, son copropriétaire, Sylvain Landry, a décrypté pour nous le marché de l’art canadien.
Galerie conviviale
Installé à Toronto depuis maintenant 14 ans, Sylvain Landry a beaucoup travaillé sur la réputation de sa galerie: «La galerie est sérieuse, sans se prendre au sérieux», ironise-t-il.
Contrairement à bon nombre de galeries d’art légèrement austères, l’atmosphère qui y règne est conviviale, accueillante.
En outre, l’un de ses objectifs est de mettre en avant des tableaux pouvant être exposés ensuite sur tout type de murs, qu’ils soient blancs ou en pierre. Enfin, cette galerie essaie de proposer des œuvres pour tous les budgets.
Le galeriste, un intermédiaire
Le métier de galeriste est avant tout un rôle d’intermédiaire entre l’artiste et l’acheteur.