Les habitués de cette chronique le savent: le Robert est mon dictionnaire favori. L’ouvrage par excellence pour trouver une définition précise rapidement, pour avoir un survol efficace de l’histoire ou de l’étymologie d’un mot. L’ouvrage est un spectaculaire condensé de l’histoire de la langue française, de l’orthographe, de la grammaire, de la mise en contexte de mots. Il répertorie des nuances de sens, des expressions.
J’y réfère souvent quand je rédige ces chroniques. Sur mon bureau, le Robert n’est jamais vraiment rangé. Il est toujours à portée de main. On y trouve des signets improvisés. Des post-it à certaines entrées. Des idées pour une chronique future, des notes personnelles.
Comme son concurrent le Larousse, le Petit Robert illustré se renouvelle maintenant d’année en année.
La version classique, qui scinde en deux tomes le dictionnaire de la langue française et le dictionnaire des noms propres, est la plus complète. Mais depuis quelques années, pour encore mieux faire concurrence au Larousse, le Robert se présente aussi dans une version condensée et illustrée.
Le Robert illustré 2014 – qui a succédé au Dixel – est d’ailleurs le fruit d’un travail soigné de présentation et de synthèse.