Le portrait des gens qui sont victimes de séquelles à long terme de la CoViD-19 se précise, mais les causes restent tout autant nébuleuses.
Les jeunes adultes semblent plus nombreux à avoir encore des symptômes cinq semaines après un diagnostic positif, selon des chiffres britanniques.
Symptômes persistants
On regroupe sous l’expression «longue covid» (en anglais long covid) tous les symptômes qui persistent pendant des semaines, voire des mois. De la fatigue extrême jusqu’à des difficultés respiratoires ou cardiaques en passant par une perte de goût.
Bien qu’on ait souvent associé ces mots à ceux qui ont des séquelles après une hospitalisation, voire après être passés par les soins intensifs, il englobe tous les symptômes persistants chez tous ceux qui ont été diagnostiqués comme ayant été infectés par le coronavirus.
25%
Or, selon la mise à jour publiée le 21 janvier par le Bureau national des statistiques du gouvernement britannique, pas moins de 25% des 25-34 ans et des 35-49 ans ont toujours des symptômes, cinq semaines après un test positif. Contre 18% chez les plus de 70 ans.