Après l’Allemagne, l’Angleterre réalise à son tour que le multiculturalisme est un cul-de-sac. Normalement, le Canada devrait constater lui aussi la faillite de ce système et l’abandonner, mais il ne le fera pas.
Pourquoi? Parce qu’il existe en son sein une nation minoritaire aspirant à se séparer et que le plus sûr moyen de l’en empêcher est justement de la noyer dans la bouillie multiculturaliste.
Pierre Elliott Trudeau savait tout cela, et ses héritiers fédéralistes, toutes tendances confondues, le savent aussi. Voilà pourquoi le multiculturalisme «canadian» a de longues années devant lui.