Le Centre de recherche en biodiversité du Collège Boréal amorce une recherche sur des stratégies possibles afin d’atténuer les conséquences d’une rupture de la chaîne alimentaire lors d’une nouvelle pandémie.
Dirigée par le directeur Jean-Pierre Kapongo, cette recherche examinera les meilleures pratiques de production et de commercialisation qui permettront aux producteurs de mieux connecter avec les consommateurs.
Inquiétude
Au début de la crise de la CoViD-19, l’inquiétude était bien présente relativement à une rupture de la chaîne alimentaire dans divers secteurs.
Tous se souviennent du réflexe des consommateurs de faire des réserves de nourriture et d’autres denrées comme le fameux papier de toilette! Comment est-ce que cela pourrait se passer autrement dans le cas d’une calamité qui met le monde sur pause?
«Cette fois-ci, aucun gouvernement ne pouvait répondre positivement devant la possibilité d’une interruption de la chaîne alimentaire. Si une autre pandémie arrive, le gouvernement, les producteurs et les consommateurs vont pouvoir se servir de notre recherche. Il y aura des suggestions sur des façons de régler le problème», explique le professeur Kapongo.