Le collège Boréal prépare l’avenir

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Publié 13/06/2006 par l-express.ca

Quelles perspectives de carrières a-t-on à 15 ans? La question est complexe et les intéressés eux-mêmes ont des difficultés à cibler leur choix. C’est dans l’optique d’apporter quelques embryons de réponse que le collège Boréal a accueilli un peu plus d’une centaine d’élèves de 10e année de l’école secondaire catholique Sainte-Famille de Mississauga.

«Ma place dans le monde du travail.» Tel était l’énoncé de l’atelier principal de cette matinée d’orientation au collège Boréal, qui a vu défiler plus d’une centaine d’adolescents. À travers une série de question, l’objectif principal était de définir un domaine d’activité général pour chaque élève concerné.

Des profils aussi divers que «réaliste, investigateur, entreprenant ou artistique», censés amener vers un domaine professionnel plus spécifique.

Parallèlement, plusieurs intervenants se sont succédés dans d’autres salles, proposant leur expérience aux élèves qui se font déjà une petite idée de leur avenir.

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C’est notamment le cas de Melissa Possik, 15 ans, qui s’est récemment découvert une passion pour les métiers du social et de l’enfant: «J’avais déjà envie de travailler dans ce domaine, mais cette visite et cette intervention me le confirment. Je n’ai plus de doute maintenant, et disons qu’il y a 90% de chances que je continue mes études à Boréal après le secondaire. Le collège offre non seulement la possibilité d’étudier en français, mais aussi de se former en deux ans.»

Un choix précoce, puisque la majorité des élèves n’ont pas encore autant affiné leur projet professionnel. Mais pour Nancy Leblanc, coordinatrice du programme éducation en services à l’enfance et intervenante ce mercredi, ce type de manifestation est importante sur bien des points: «Non seulement cela permet de faire naître des vocation ou de les confirmer, mais cette matinée joue également un grand rôle dans l’information. Il existe tout un tas de métiers dont les enfants ne connaissent même pas l’existence, et qui sont pourtant passionnants.»

Des passions que l’on tente de déceler de plus en plus jeune, alors que les formations se spécialisent de plus en plus tôt.

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