Plus l’arbre généalogique des espèces se précise, et plus l’humanité s’approche d’un «moment Copernic»: ce moment où on doit admettre qu’on n’est pas grand-chose face à l’univers.
Et dans ce cas-ci, ce n’est pas seulement l’amour-propre des humains qui est entaché, mais celui de tous les… eucaryotes.
En d’autres termes, toutes les espèces animales et végétales, et même les bactéries qui comportent un noyau.