Les Chinois ne sont pas rancuniers. Bien qu’ils n’aient jamais pu avoir une place sur la station spatiale internationale, ils viennent d’annoncer que leur propre station sera ouverte à tous.
La Chine a en effet exprimé à plusieurs reprises son intérêt à participer au programme, mais les États-Unis lui ont toujours opposé leur refus, invoquant l’espionnage industriel.
C’est donc seule que la République populaire a développé le programme de vol spatial habité Shenzhou et envoyé son premier taïkonaute dans l’espace en 2003.
Le 25 juin était lancée la nouvelle fusée Longue Marche-7, qui pourrait servir aux équipages de la future station spatiale chinoise à partir de 2022.