Ces dernières semaines, pendant que des records de chaleur étaient battus ailleurs sur la planète, un froid polaire sévissait sur l’est de l’Amérique du Nord.
Bien que personne ne se risque à lier ce «vortex polaire» au réchauffement climatique, certains adeptes de cette théorie assurent qu’il se comporte comme leurs modèles informatiques s’y attendaient.
En se réchauffant, la mer réchaufferait l’air au-dessus d’elle, perturbant du coup les courants aériens, et ce, de plus en plus loin, à la manière d’une chute de dominos.
Mais quel type de perturbation? Les records de chaleur en Alaska et en Scandinavie, les pluies diluviennes en Angleterre, les grands froids à Atlanta, tout cela est-il lié? Certains modèles le prédisent.
La plupart des climatologues préféreront dire qu’on n’a pas assez de données pour en être sûr.