Jean-François L’Heureux candidat au CSDCSO pour Toronto-Sud

En vue des élections scolaires du 25 octobre

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Publié 27/07/2010 par l-express.ca

Jean-François L’Heureux a déposé le 19 juillet, à l’Hôtel de Ville de Toronto, sa candidature comme conseiller scolaire au CSDCSO pour la région regroupant les écoles élémentaires Pierre-Elliott-Trudeau, La Mosaïque, Gabrielle-Roy ainsi que le Collège français dans le cadre des élections du 25 octobre prochain.

Ce siège de Toronto-Sud au Conseil scolaire de district du Centre-Sud-Ouest est actuellement occupé par Denys Bégin.

«L’épanouissement et l’éducation de nos enfants est une préoccupation constante au sein de notre famille. Ce sont ces valeurs qui m’ont amené à m’impliquer et à souhaiter vous représenter au sein de notre conseil scolaire», a expliqué M. L’Heureux après avoir déposé sa candidature.

M. L’Heureux termine présentement un deuxième mandat à titre de président du conseil d’école à Pierre-Elliott-Trudeau.

«Au cours de ces deux années, j’ai personnellement négocié l’achat des structures de jeux installées dans la cour en août 2009, j’ai lancé le «projet 1 million (de cents!)» et j’ai amené le conseil d’école à participer à l’essor de la communauté francophone torontoise en contribuant à diverses campagnes de financement telles que l’Opération sacs à dos et «Un avenir sans faim».

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Il assure également que la communication avec les parents est primordiale pour lui, faisant valoir: «j’ai créé un groupe sur Facebook, en juin 2009, afin de partager les travaux du conseil d’école et de favoriser les échanges entre parents».

M. L’Heureux a pu aussi constater qu’il existe plusieurs dossiers chauds qui se doivent d’avancer au cours des prochains mois et années. Selon lui, il faut trouver une solution permanente au campus temporaire de Brockton qui accueille présentement les élèves de 7e et 8e année du Collège français, en attendant que celui-ci trouve des locaux plus grands.

Il est aussi préoccupé par «la surpopulation dans les écoles élémentaires du sud de Toronto, aux potentiels conflits entre les services de garde privés et ceux que devront offrir nos écoles dans le cadre du programme de la maternelle et du jardin d’enfants à temps plein».

«Si je suis élu, je m’engage à faire des pressions auprès de nos politiciens: il est déplorable qu’une centaine d’écoles du TDSB ne soient pas utilisées à des fins éducatives au même moment où nos écoles françaises débordent. Par exemple, l’école Pierre-Elliott-Trudeau verra vraisemblablement deux classes préfabriquées (portatives) s’installer dans son stationnement en septembre prochain», dit-il.

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