Les médias titraient récemment que si la tendance se maintient, en 2066, il y aura au Québec 89 jeunes enfants et aînés (donc pas ou moins en âge de travailler) pour 100 personnes de 20 à 64 ans.
Il ne sera alors certes pas aisé pour les travailleurs et entrepreneurs de 20 à 64 ans de financer et de maintenir le filet social québécois.
Le gouvernement est conscient de cette problématique, et l’immigration est bien entendu une des solutions envisagées.
Le Québec cherche donc de jeunes travailleurs, francophones de préférence, qui pourront contribuer à faire prospérer la province.
Envoyer le mauvais message
Pourtant, les signaux sont mixtes du côté du ministère de l’Immigration du Québec. D’une main, on fait des campagnes de promotions dans la francophonie. De l’autre, on rejette 18 000 demandes représentant 50 000 candidats à l’immigration.