La capitale de la Roumanie, Bucarest, accueille ces 1er et 2 novembre une conférence de femmes d’affaires de toute la francophonie, dont six Franco-Ontariennes.
Il s’agit de: Anne Vinet, d’AirStart, ex-présidente du Club canadien de Toronto; Léonie Tchatat, de La Passerelle à Toronto; Julia Deans, de Futurpreneur Canada à Toronto; Nathalie Grenier, de la Société économique de l’Ontario (le nouveau nom du RDÉE-Ontario) à Ottawa; Mireille Morin, de la Distillerie Rheault de Hearst; et Zoé Arsenault, de Superior Kinesiology à Thunder Bay.
Elles rejoignent près de 450 représentant(e)s de la société civile et de gouvernements membres de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), dont l’Ontario, membre-observateur depuis l’an dernier et pour laquelle la ministre des Affaires francophones Marie-France Lalonde est «sherpa».
Mme Lalonde a cité cette rencontre de femmes en exemple de gestes posés par l’OIF pour faire avancer ses dossiers, lors de son passage, mardi, au 11e Forum économique international des Amériques qui rassemblait quelque 180 intervenants de haut niveau participant à une trentaine de conférences et tables rondes pendant trois jours à l’hôtel Royal York de Toronto.
Contribution ontarienne
Les femmes et la jeunesse sont en effet des priorités de l’OIF, surtout pour ses pays africains, a-t-on entendu lors de la table ronde de Mme Lalonde sur la contribution de l’Ontario à «l’espace économique francophone», à laquelle participaient également le ministre de l’Énergie du Niger, Foumakoye Gado, le fondateur de BlueOrange Capital, le Français Bertrand Badré, et la fondatrice de mécèneESS, la Franco-Ontarienne Ethel Côté.