Beyrouth et Port-au-Prince: deux villes touchées par l’horreur de catastrophes meurtrières sur fond de gouvernance corrompue.
10 ans écoulés cette année après le pire séisme que Port-au-Prince ait connu, la population continue de souffrir. Les traces d’une longue histoire de misère perdurent malgré les milliards de dollars amassés pour reconstruire la capitale effondrée.
L’Histoire semble se répéter. Mais cette fois-ci à Beyrouth, il ne s’agit pas d’un désastre naturel, mais d’une supercherie monstrueuse.
Un horrible désastre fait par la main de l’homme. Une négligence manifestement criminelle que l’on pourrait désigner telle une forme de terrorisme interne appuyé par une classe privilégiée pernicieuse à la tête du pays.
Beyrouth et Port-au-Prince partagent l’horreur de la perte humaine à grande échelle et d’une destruction physique apocalyptique. Sous un climat de perversion politique.