Bush n’est pas à court d’idées de génie quand il s’agit des catastrophes à venir. On l’a vu pour l’Afghanistan, l’Irak, les typhons. La nouvelle tragédie est la grippe aviaire. À force de vivre à 20 au mètre carré, les poulets se sont enrhumés.
Bush a trouvé encore une solution géniale: appeler l’armée. Là, il s’y connaît. Il s’agit d’isoler les populations atteintes du mal, en les maintenant en quarantaine. Les vieux, les asthmatiques, les jeunes enfants, les pauvres, les malades, on va les mettre à l’écart, comme les lépreux au Moyen-Âge! Mais pour les lépreux, on n’avait pas songé à les faire garder par la troupe.
On voit bien les soldats de Bush, avec fusil anti-bactérien au poing, guetter le microbe à la sortie des hôpitaux. Un lance-flamme serait sans doute plus efficace! Aux dernières nouvelles, on aurait convaincu le président de demander aux médecins… des vaccins! Pourtant, l’idée de l’armée seule était géniale.
Mais la meilleure solution, puisque toutes les catastrophes sont un châtiment de Dieu, reste encore la prière, God n’est-il pas l’ami intime de Bush contre l’axe de tous les maux? Faisons comme Bush, prions.