Diplômés de la Toronto French School, ils regardent à l’international

Grâce à leur formation d'excellence dispensée par l'école bilingue

Cedric et Nicole le jour de leur remise de diplôme de la Toronto French School.
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Publié 07/06/2019 par Léa Giandomenico

Nicole Dirks et Cedric Lebeault viennent tout juste d’être diplômés de la Toronto French School, le 31 mai dernier. L’école, bilingue, offre une formation en anglais et en français à ses élèves, et leur décerne un double-diplôme. Un bagage solide pour des futures études à l’étranger.

TFS - L'école internationale du Canada
TFS – L’école internationale du Canada

Formation d’excellence

À la rentrée prochaine, Nicole et Cedric quittent la Toronto French School: direction les études supérieures.

Pour Cedric, envol vers Paris. Le jeune diplômé a été admis à l’ESSEC, prestigieuse école de commerce de la capitale. Né en France, d’un père français et d’une mère brésilienne, il a une attache particulière pour ce pays. «J’ai été pendant deux ans à l’école en France, c’est pourquoi mes parents ont choisi de développer encore mon éducation française».

Quant à Nicole, elle s’en va étudier à l’université de Yale, aux États-Unis, tout aussi prestigieuse. «Mes parents ont choisi de m’envoyer dans cette école, car savoir parler français, pour une canadienne, offre davantage d’opportunités. Cela fait partie de notre culture ici», explique la jeune fille. Elle ajoute que ses sœurs étaient inscrites à la TFS avant elles: ses parents ont donc pu voir la rigueur et la richesse de la formation.

«La TFS impacte notre façon de voir le monde: on ouvre nos horizons»

 

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Inscrits depuis environ 15 ans dans cette école, Nicole et Cedric ont bénéficié d’une formation d’excellence, bilingue et internationale qui leur permet d’aborder des sujets nouveaux, comme l’histoire de l’Europe par exemple.

«En cours de français, j’ai étudié beaucoup de théories de philosophes français comme l’existentialisme de Sartre par exemple», explique Nicole. Elle ajoute avoir pu appliquer les thèmes étudiés en philosophie à d’autres matières. Sa formation lui a donné envie de s’intéresser d’avantage aux relations internationales, dès lors elle lit la presse étrangère.

Élargir les exigences

Cedric apprécie avoir été poussé à regarder plus loin que son propre pays. «La plupart des canadiens d’autres écoles restent faire leurs études au Canada. La TFS m’a aidé à élargir mes horizons et mes exigences: c’est pourquoi j’ai décidé de partir étudier à Paris.»

Il explique également avoir participé à un échange scolaire, trois ans auparavant, en Italie. «Je suis parti avec mon groupe de musique de l’école. Nous avons pu jouer dans des endroits historiques à Florence, Rome ou Venise.» Le jeune homme ajoute avoir désormais plus envie d’explorer l’Europe pour sa richesse historique.

66 élèves ont été diplômés le 31 mai dernier.

«La TFS m’a aidée à être une meilleure version de moi-même»

 

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Les deux futurs étudiants apprécient cette éducation «ouverte et diversifiée», et la rigueur de l’école. «Si je voulais donner un conseil aux futurs et actuels élèves de la Toronto French School, je leur dirai de ne pas négliger les activités extrascolaires que l’on nous propose», avance Nicole.

Investie dans le journal de son école, elle explique que cette activité, supervisée par le corps enseignant de l’école, l’a poussée à initier des projets stimulants, et à être une meilleure version d’elle-même qu’elle ne pensait pas devenir.

Elle a compris qu’elle pouvait, à son échelle, contribuer à sa société. «Souvent, on priorise nos activités académiques et on oublie que s’immerger dans d’autres activités est essentiel», conclue la jeune femme, qui pratique aussi beaucoup l’athlétisme en club.

Un support éducatif

Cedric, quant à lui, ajoute qu’il apprécie le support que propose la TFS à ses étudiants. «Nous bénéficions de l’aide d’entraîneurs qui nous préparent à l’université: ils nous aident à appréhender de nouvelles méthodes de travail propres à la faculté, ainsi qu’à être indépendant», explique le jeune homme.

Il conseille donc fortement aux élèves d’utiliser toutes les ressources que l’école met à disposition des élèves. Cedric explique que cette formation supplémentaire leur permet parfois de sauter des cours de faculté qu’ils ont déjà préparés à la TFS.

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Repos mérité pour les jeunes diplômés

Pour l’instant, Cedric et Nicole profitent de leurs vacances d’été, bien méritées. «Je vais me reposer, m’entraîner pour une compétition nationale d’athlétisme, et également être tutrice en mathématiques, en anglais et en français», explique Nicole. Elle rajout à son emploi du temps, la lecture d’un roman en français: La femme indépendante, de Simone de Beauvoir.

Cedric, quant à lui, part en France début août, pour découvrir un peu mieux le pays, puis s’installera fin août à Paris pour préparer sa rentrée.

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