Omar m’a tué (Omar killed me), de Roschdy Zem rappelle l’histoire d’Omar Raddad, emprisonné à la suite du meurtre d’une femme en France. Le film revient sur une période où le racisme justifiait parfois le pire. (Photo ci-dessus)
The Artist, de Michel Hazanavicius, avec l’acteur français Jean Dujardin, montre la difficulté avec laquelle un comédien du cinéma muet passe au cinéma parlé. Un hommage au cinéma des années 20.
Café de Flore, de Jean-Marc Vallée met en scène Vanessa Paradis en mère dévouée auprès de son enfant atteint du syndrome de Down. Le film se joue sur deux époques, les années 60 à Paris et Montréal de nos jours.
Le Premier homme, de Gianni Amelio est tiré du roman du même nom, de l’écrivain français Albert Camus. Cette autobiographie nous fait suivre Jacques Comery, qui retourne en Algérie en 1957 et revit ses souvenirs.
Présumé coupable (Guilty), de Vincent Garenq met en scène Philippe Torreton dans le rôle d’un homme accusé de pédophilie, avec sa femme, crime qu’il n’a pas commis. Comment retrouver son honneur et prouver son innocence?