L’accord international sur le climat, signé à Paris en décembre 2015, montre que même si des choses terribles surviennent, comme des attentats terroristes du 13 novembre dans la capitale française, et encore la semaine dernière à Bruxelles, «nous pouvons travailler ensemble, nous avons besoin d’une solidarité mondiale».
C’est ce qu’affirme l’avocate Oongah Fitzgerald, qui s’adressait la semaine dernière aux membres du Barreau du Haut-Canada à Toronto à l’occasion de la Journée internationale de la francophonie.
Oongah Fitzgerald dirige depuis deux ans à Waterloo le programme de recherche en droit international du Centre pour l’innovation dans la gouvernance (CIGI), un organisme indépendant.
«Paris 2015 me fait penser à deux choses: les terribles attentats, mais aussi la magnifique conclusion de l’accord sur le climat. Dans ma tête, c’est toujours lié ensemble: un élément positif dans un monde qui peut-être laid.»