Ça ne va pas très bien avec mon pool de hockey. À deux niveaux. Premièrement, parce que mes joueurs ont ralenti leur production et deuxièmement parce que j’ai découvert qu’on ne peut pas utiliser l’expression «pool de hockey».
Mais voilà. Les «pools» sont tellement populaires qu’on n’entend à peu près jamais d’autres expressions pour désigner ce jeu basé sur des sélections de joueurs et qui tient compte du rendement offensif et des statistiques des hockeyeurs professionnels. Je suis moi-même amateur de hockey et je fais partie d’un «pool» de journalistes. J’ai bien dit amateur et non connaisseur…
C’est peut-être pour ça que je me retrouve à la mi-peloton depuis le début de la saison. Ni dans les meilleurs, ni dans les pires. J’ai bien quelques bons joueurs comme Ovechkin, Crosby, Sundin, Stastny, Brind’Amour, Staal… Mais j’ai aussi des joueurs moins performants. Je ne dirai pas des «lavettes» parce qu’un lecteur du Nouvelliste, l’autre journal pour lequel je travaille, me l’a déjà reproché. Mais voilà. Le «pool» de hockey m’amuse et il crée une saine compétition entre collègues.
La semaine dernière, j’apprenais qu’il ne fallait pas dire «pool de hockey». En fait, je me doutais un peu que l’expression était fautive parce que directement importée de l’anglais. Mais je n’avais pas vraiment d’idée de l’expression correcte. L’horreur.
Depuis le début de la saison de la Ligue nationale de hockey, je fais partie d’un «jeu du directeur général»…