À la question comment estimez-vous vos chances d’être élu, certains candidats marginaux à la mairie semblent très réalistes, notamment David Vallance qui les estime «légèrement supérieures à zéro». Cependant d’autres vivent d’espoir comme Tibor Steinberger qui pense avoir «de bonnes chances de gagner, car les gros candidats n’offrent pas ce qu’il faut pour faire de la ville une ville meilleure».
David Vallance qui se présente pour la deuxième fois consécutive à l’élection municipale veut faire de Toronto une Province à part entière.
Aujourd’hui retraité, il est diplômé d’économie à Ryerson et a fait partie de plusieurs associations, notamment en temps que président de la Confederation des résidents et des contribuables durant trois ans, puis en temps que président des Contribuables contre la megacité.
Après l’amalgamation de Toronto, il a contribué à créer un groupe militant pour une réforme des taxes de propriété avec les résidents d’Oakville, Orilla et Peterborough.
«Le problème ce n’est pas le maire»
Selon lui, «aucun maire ne peut résoudre les problèmes de Toronto car le problème, ce n’est pas le maire, mais le système».