Riffs de guitare endiablés, tempo énergique sur fond d’électro agrémenté de hooks et de samples accrocheurs, la formule pétille. Dans la plus pure tradition des néo-rockers anglais, Bo propose une alternative francophone particulièrement efficace. Koma Stadium, son second album à paraître en septembre 2007 chez Spozzle/Codaex, se présente comme l’alchimie ultime entre des sonorités uniques et une plume «ironicomique». Un cocktail détonant présenté sur scène depuis quelques mois en France, et qui traversera l’Atlantique début mars.
Bo, alias Stéphane Bossard, n’est pas novice en terme de performance scénique. Avec près de 80 concerts à son actif, le jeune homme a déjà fait état de son talent à travers la France à plusieurs reprises.
Un tableau de chasse qui comprend tout de même quelques lieux reconnus pour avoir accueillis des artistes émergents de la scène française, comme le Chabada d’Angers ou la Guinguette Pirate à Paris. Les festivals, habituellement avides de nouveaux artistes prolifiques sur scène lui ont également fait les yeux doux à plusieurs reprises, notamment la Fête de l’Huma à La Courneuve ou le Printemps de Bourges. Une carte de visite bien remplie qui pousse aujourd’hui le Parisien à tenter l’aventure internationale.
Son périple à l’étranger le mènera au Canada ce mois de mars. Il s’y produira à trois reprises, tout d’abord à Montréal le 4, puis Ottawa le 6 avant de terminer cette brève tournée à Toronto à l’hôtel Gladstone de la rue Queen Ouest, le 8 mars.