Permettez-moi de vous faire part d’une erreur qui s’est glissée dans votre article Services en français; vols mouvementées de l’édition du 22 au 28 janvier.
En effet, contrairement aux affirmations du Commissaire François Boileau – «Et surtout, il ne faut pas oublier qu’Air Canada est financé avec les taxes de l’ensemble des Canadiens, sans distinction de langues» – Air Canada est, depuis 1988, une société privée qui n’a reçu aucun soutien financier de l’État dans quelque dossier que ce soit y compris celui des langues officielles.
Je profite de l’occasion pour réitérer le ferme engagement qu’a pris Air Canada de se conformer à ses obligations linguistiques. Sans prétendre à la perfection, nous prenons néanmoins ces obligations très au sérieux et corrigeons les lacunes aussitôt qu’elles sont relevées. Nous entendons bien continuer de servir et d’améliorer notre capacité de servir nos clients dans la langue officielle de leur choix car pour nous, servir nos clients dans la langue officielle de leur choix est tout simplement une décision commerciale pleinement sensée.
