Kim Churchill, l’Australien préféré des Canadiens

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Publié 28/08/2012 par Guillaume Garcia

L’Australien a beau avoir coupé ses cheveux, les gens le reconnaissent quand même au milieu du public. Kim Churchill, guitariste venu de l’île continent il y a trois ans pour participer au Buskerfest, revient régulièrement depuis que les Canadiens l’ont adopté.

Il est en ce moment en pleine tournée pancanadienne pour promouvoir son dernier album Details of Distance et faire découvrir sa musique à celles et ceux qui ne le connaîtraient pas encore. Ses disques se vendent directement à ses concerts et les radios ne l’ont pas encore remarqué, tout le mérite de son succès repose directement sur le bouche-à-oreille.

«Là je partage ma vie entre l’Australie et le Canada. Je vais là où les gens veulent me voir jouer. Ça marche super bien au Québec. Je pense que c’est là que j’ai fait mes plus grands concerts!», raconte le guitariste blond, bronzé et super sympa!

Il a déjà rempli le Petit-Champlain deux soirs de suite, foulé les planches du festival de jazz de Montréal, celles de Mont-Tremblant, et traversé le Canada plusieurs fois en quelques mois.

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Grand fan de Jimi Hendrix, Jimmy Page ou encore de Neil Young, il a appris la guitare classique et progressé à pas de géants. Très jeunes, il découvre de nouveaux styles de jeu et intègre le «tapping» à ses compositions.

Aujourd’hui, le voir en spectacle s’est être assuré d’en prendre plein les yeux et les oreilles. Frappant sa guitare, la grattant, utilisant, ses doigts de pieds pour lancer des boucles, pour jouer de la grosse caisse et de la caisse claire et enfin sa bouche pour souffler dans son harmonica, il a développé un jeu qui convient parfaitement à la performance de rue et de scènes intimistes.

Il jouera le 30 août au Dakota Tavern (Dundas & Ossington) après avoir fait vibrer le public du Buskerfest pendant trois jours. Il sera accompagné de son ami d’enfance Daniel Champagne, Australien lui aussi et guitariste très spécial aussi.

Auteur

  • Guillaume Garcia

    Petit, il voulait devenir Tintin: le toupet dans le vent, les pantalons retroussés, son appareil photo en bandoulière; il ne manquait que Milou! Il est devenu journaliste, passionné de politique, de culture et de sports.

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