La terreur, la haine et la mort alimentent plus que jamais les bulletins de nouvelles. Il ne se passe plus une semaine ou presque sans qu’une tuerie ne fasse la une.
Il n’y a pas si longtemps, les conflits armés avaient cours dans de lointaines contrées: Afghanistan, Syrie, Ukraine. Aujourd’hui, il n’y a plus un pays à l’abri de ce qui risque bien de marquer le XXIe siècle au fer rouge: le terrorisme.
La France, pays des droits de la personne, est durement touchée par le terrorisme. Après Charlie Hebdo et le Bataclan, voici que Nice est attaquée en pleine célébration de la Fête nationale. Ce sont la Liberté, l’Égalité et la Fraternité qui sont visées ici.
Aux XIXe et XXe siècles, quand un nouveau Premier ministre annonçait la composition de son cabinet, la presse braquait le plus souvent les projecteurs sur le titulaire des Finances, des Affaires étrangères et de la Santé. Depuis peu, on se tourne vers l’Immigration et les Réfugiés. Demain, je crois que ce sera la Sécurité publique.
Je suis de nature pessimiste. Mon verre est toujours à demi-vide et non à demi-plein. J’ai tendance à voir le côté noir des choses. Je crois donc que le pire est à venir. D’autres attentats vont survenir, si ce n’est qu’en raison du phénomène «copy-cat».