Francophonie en Fête (FEF) a conclu son programme dimanche 16 octobre, à La Distillerie, sous le vent, la pluie, le froid et quelques éclaircies de soleil. Le festival avait commencé le jeudi avec Diane tell et Catherine Major.
Jacques Charrette se demande si le blocage de son compte courriel n’a pas empêché le concert de Diane Tell et Catherine Major d’afficher complet.
Au studio Glenn Gould, une bonne cinquantaine de sièges sont restés vacants. De plus, le public n’est arrivé que pour Diane Tell.
Le lendemain, Gilles Bélanger (le frère de Daniel) présentait son Homme Rapaillé en chansons. Les poèmes de Gaston Miron rendaient très bien sur les accords folk du guitariste, mais le public n’était absolument pas au rendez-vous. Une petite vingtaine de personnes étaient présentes. La fin de semaine se passait à La Distillerie avec ateliers et concerts.
Dimanche, malgré les caprices du temps, quelques familles, des passants et les habitués du festival se sont rejoints face à la scène extérieure de FEF pour savourer les tounes du groupe Les Cactus, du chanteur Yvan Vollé, les danses d’Akwaba et le tamtam d’Amadou Kienou.